Les semis : mise en terre de la graine
Cette année, la mise en terre s’est déroulée sur trois journées : les 6, 7 et 8 février. Ce créneau a été choisi en fonction du calendrier lunaire, plus précisément en lune vieille descendante, une période traditionnellement favorable pour les cultures bulbeuses.
Pourquoi ces dates ?
Le cycle lunaire influence le rythme végétatif : il est réputé jouer sur la germination, la vigueur des plants et, pour l’oignon, jusqu’à la conservation après récolte. Sans se substituer aux bonnes pratiques agronomiques, ce repère guide notre calendrier pour mettre toutes les chances du côté des semis.
Un semis précis et homogène
Sur un sol préalablement stérilisé, un semoir trace un sillon régulier et répartit les graines de manière uniforme. Le sillon est conduit sur toute la longueur du champ, puis reproduit sur l’ensemble de la parcelle avec un espacement constant afin d’assurer une levée harmonieuse et limiter la concurrence entre plants.
Finition : recouvrement et nivellement
Une fois les graines déposées et légèrement enterrées, le sol est ratissé pour enfouir les dernières graines, refermer les sillons et égaliser la surface. Cette étape favorise un bon contact graine/terre et une humidité régulière, conditions clés d’une germination réussie.
La suite
Les parcelles sont désormais surveillées de près : contrôle de l’humidité du lit de semences, observation des premiers stades de levée et interventions légères si nécessaire pour accompagner les jeunes plantules.
— Actualité du 05 février 2021 (semis réalisés les 6–8 février) —